Paléochora ☼

Carnet de voyage par Anoula.
Si Sitia est un bout du monde, Paléochora est, avec ses 2 000 habitants, un bout de mars, un petit port isolé au sud-ouest de l’île, moins fréquenté et qui a gardé son joli coeur sans se fourvoyer à des constructions trop hâtives.
Paléochora est en quelques sortes la ville de mes rêves, très enclavée, avec une route pour seul accès, elle est dominée par les ruines d’un fort vénitien perché sur un promontoire.
Il n’y a rien à faire, juste à prendre son temps, lire, écrire, se reposer et siroter un bon jus d’orange sur une terrasse.
Ses plages sont assez grandes pour ne pas se marcher dessus, et Paléochora est un point de départ en bateau pour les gorges de Samaria, pour l’île d’Elafonissi et de nombreuses autres destinations « ferryques » (petites villes de Sougia et Agia Rouméli, l’île de Gavdos, etc.)
Anoula.